Après un mois de campagne plus ou moins animé - voyant le départ d’un candidat (Zariel) et le ban d’un postulant au pouvoir (aka tenshin) - les résultats ont été dévoilés. Retour sur un système critiqué avec Beauté Fatale et les candidats (heureux ou malheureux). Continue Reading »
Zariel, incorrigible, comme d’habitude, n’a fait ni une ni deux, et hop… il a ouvert sa grande gueule. Uniquement pour votre plaisir bien sûr, et à son grand détriment.
Votre cher reporter était, certains parmi vous le savent, notoirement célèbre pour ses coups de gueule, ses oppositions diverses, qui envers l’Oracle, qui envers la Légion des Damnés, qui envers un tel ou un tel. Un Don Quichotte diraient certains, juste un casse-couilles diraient d’autres, et bref… Cette attitude me valut de nombreux séjours dans les geôles.
Or donc, la nouvelle ville ouvrait ses portes, et quelle ne fût pas ma surprise, au détour d’une de mes déambulations dans le quartier de l’agora, d’entendre un quidam hurler à qui voulait l’entendre que les XXX (auto-censure) n’étaient autres que les tristement célèbres Damnés, nantis de masques ailés dissimulant habilement leur ancienne identité.
Tous les forums seront ciblés !!!
Tous vos mots seront nos proies !!!
Amusantes ou étonnantes, ces citations ont été relevées dans tous les topics.
Vous pouvez voter pour votre citation préférée parmi les 20 ci-dessous, pour cela il suffit d’envoyer une missive avec le numéro de la citation de votre choix à L’Amante du Guerrier Errant ou Nedved.
Vous aurez le vainqueur lors de la prochaine édition du journal avec 20 nouvelles citations en lice.
Quel maître d’armes deviendra le maître de la citation du mois de juillet ?
À vous de décider en votant pour le candidat de votre choix…
Voici un résumé d’un échange entre une elfe (Dame Gurthwulf) et un Nain (Troy Freyr) dans la Forteresse de Durlac…
Tout a commencé suite à une sombre histoire de Neurone interchangeable, faculté exceptionnel de Barack Shar…
Dame Gurthwulf : Oula, mes neurones acariâtres, cela se monnaie très chers, je les garde précieusement en lieu sûr dans un endroit où personne, même moi, ne saurait les retrouver
